Page 13 - SOMOS FOA #4
P. 13

Alejandro Gallego
                                                         Président FOA





                teur ou dirigeant, nous devons bien élever            tionnel numéro 1 s’intitulait « pourquoi »
                nos activités et/ou attitudes à la recherche          et faisait directement allusion à une ques-
                du bien commun sur le bien individuel, et             tion que nous ne devons jamais oublier
                si pour quelque raison ou circonstance les            dans notre passage dans les institutions.
                règles qui régissent notre institution elles
                s’éloignent du bien commun, c’est-à-dire                PARCE QUE plusieurs fois, nous
                qu’elles ne reflètent pas la finalité de l’ins-        oublions notre étape initiale en
                titution, (que ce soit parce qu’elles sont               tant qu’éleveur et nous com-
                erronées, anciennes, douteuses dans son
                appréciation, etc.) on peut aussi penser avec         mençons à travailler et à prendre
                certitude que celles-ci ne s’appliquent pas                 de mauvaises décisions?
                au  bien  commun  non  plus  ;  c’est  donc  en
                nous, formateurs et faiseurs de ces institu-          En faisant d’eux LES ÉLEVEURS du bien
                tions, de toujours penser au bien commun              commun de  nos  institutions, nous  rédui-
                avant tout comme une règle de base.                   rons  sans  doute  grandement  la  marge
                                                                      d’erreur, si nous ne comprenons pas cela,
                Dans nos activités au sein de l’institution,          nous  oublierons  le  rôle  ou  la  finalité  de
                nous ne nous appuierons en aucun cas sur              l’institution.
                des commentaires, des règles grises et / ou
                des commodités pour établir notre bien in-            A titre personnel, je veux juste vous remer-
                dividuel en tant que bien commun. Dans                cier pour le soutien de notre fédération et
                notre  activité,  le  bien  commun  (c’est-à-di-      demander pardon pour les erreurs com-
                re le bien commun de la majorité) nous ne             mises par moi ou mon groupe de travail,
                devons jamais oublier qu’il n’est ni plus ni          même si malheureusement “désolé semble
                moins que le BIEN DES ÉLEVEURS. L’article             être le mot le plus difficile”.
                que  j’ai  écrit  pour  notre  magazine  institu-








                                                                                                                        13
                                                                                                   Somos FOA            13
   8   9   10   11   12   13   14   15   16   17   18